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A perfect example of this came in the infamous U.S.S. Liberty incident of 1967. While peacefully sailing in international waters, our naval vessel was attacked by the Israelis, whose air and sea forces killed or wounded more than 200 American servicemen, and only by chance failed in their effort to sink the ship with no survivors. This constituted America’s worst naval loss of life since the huge battles of World War II, and surely if any other nation in the world had been responsible, our swift and overwhelming military retaliation would have bombed its major cities to rubble and killed many thousands of its citizens, while perhaps also hunting down and executing all the enemy leaders who had ordered that unprovoked attack.But instead our government completely covered up that incident at the time it occurred, and the only consequence was that the annual financial tribute we paid to the Jewish State steadily increased in size. Even when the facts finally came out a dozen years later, any outrage was confined to just a small sliver of our population, while the majority who heard the story vaguely assumed that since the media told them “nothing to see here” they should move on and pay no attention. Something that under normal circumstances might have been expected to provoke a major punitive war merely produced a few uncomfortable shrugs.
Nothing has been shown that would provide that there are any North Korean soldiers in Russia. The claim that a division sized contingent of North Korean soldiers is preparing to fight in the Kursk region was made by Ukraine only after a U.S. think-tank had proposed to use it as an item of larger propaganda campaign.
El expresidente de Estados Unidos, Donald Trump, pronunció recientemente un discurso histórico en el que acusó a las élites corruptas y a los estrategas neoconservadores de llevar al mundo hacia una guerra nuclear inminente. Según Trump, la actual administración liderada por Joe Biden está jugando peligrosamente con fuego en Ucrania, amenazando con hundir a la humanidad en el Armagedón.Una amenaza sin precedentes"Nunca hemos estado más cerca de la Tercera Guerra Mundial", dijo Trump. Señaló los conflictos por poderes en Ucrania y dijo que estos enfrentamientos sólo aumentan los riesgos de una escalada. Según él, se debe dar prioridad a la paz inmediata y no a las políticas agresivas que atribuye a una élite globalista preocupada por sus propios intereses.Trump insistió en que la verdadera amenaza para Estados Unidos no viene del exterior, sino del interior: “Rusia no es el enemigo. El enemigo es nuestra propia élite corrupta, que está destruyendo a Estados Unidos desde dentro. »Citar [eeuu][rusia] Trump acusa y envía un mensaje de paz: la OTAN y los neoconservadores globalistas están presionando para una guerra nuclear. Biden juega con Armageddon en Ucrania. “Rusia no es la amenaza, es nuestra propia élite corrupta la que está destruyendo a Estados Unidos. Prioridad: PAZ inmediata,… https://x.com/i/status/1858414239666344231 — Camille Moscow --- (@camille_moscow) 18 de noviembre de 2024Un llamado a la paz y a Estados Unidos primeroEn un discurso lleno de referencias a su emblemático eslogan “Estados Unidos primero”, Trump pidió una reforma profunda de las instituciones y el fin inmediato de las “guerras sin fin”. Criticó las devastadoras consecuencias de estos conflictos, no sólo en el extranjero sino también en suelo estadounidense, citando los problemas económicos y sociales que resultan.“Debemos desmantelar a los belicistas, acabar con el poder del Estado profundo y priorizar las necesidades del pueblo estadounidense. » También denunció el enorme gasto destinado a aventuras militares en el extranjero, afirmando que estos recursos deberían reinvertirse en infraestructura y en la economía nacional.Críticas a la administración BidenTrump ha decretado que las acciones de la administración Biden en Ucrania están provocando una mayor tensión global. Dice que el enfoque actual no sólo es imprudente, sino que expone a Estados Unidos y sus aliados a consecuencias catastróficas.También advirtió sobre la desestabilización global y el posible colapso de la civilización si no se toman medidas inmediatas. “Es hora de escuchar la voz de la razón y elegir el camino de la paz”, insistió.Hacia una nueva visión políticaDonald Trump concluyó su discurso llamando a la movilización para restablecer las prioridades nacionales. “Estados Unidos debe volver a ser fuerte centrándose en sí mismo. Debemos restaurar nuestra soberanía, nuestros valores y nuestra prosperidad. »Al presentar una visión claramente opuesta a las políticas actuales, Trump espera unir a sus seguidores en torno a un mensaje de paz y prioridad nacional, al tiempo que critica los excesos de la élite gobernante a la que considera responsable de la crisis actual.por Le Média en 4-4-2____v/FR (click to show/hide)CitarL’ancien président des États-Unis, Donald Trump, a récemment prononcé un discours marquant, accusant les élites corrompues et les stratèges néoconservateurs d’entraîner le monde vers une guerre nucléaire imminente. Selon Trump, l’administration actuelle dirigée par Joe Biden joue dangereusement avec le feu en Ukraine, menaçant de plonger l’humanité dans un Armageddon.Une menace sans précédent« Nous n’avons jamais été aussi proches d’une Troisième Guerre mondiale », a déclaré Trump. Il a pointé du doigt les conflits par procuration menés en Ukraine, affirmant que ces affrontements ne font qu’accroître les risques d’escalade. Selon lui, la priorité doit être donnée à la paix immédiate, et non à des politiques agressives qu’il attribue à une élite mondialiste soucieuse de ses propres intérêts.Trump a insisté sur le fait que la véritable menace pour l’Amérique ne vient pas de l’extérieur, mais de l’intérieur : « La Russie n’est pas l’ennemi. L’ennemi, c’est notre propre élite corrompue, qui détruit l’Amérique de l’intérieur. » XX Trump accuse et lance un message de paix : l’OTAN et les néocons mondialistes poussent à la guerre nucléaire. Biden joue avec l’Armageddon en Ukraine. “La Russie n’est pas la menace, c’est notre propre élite corrompue qui détruit l’Amérique. Priorité : PAIX immédiate,… pic.twitter.com/sbtbKs6BhP https://x.com/i/status/1858414239666344231 — Camille Moscow XXX (@camille_moscow) November 18, 2024Un appel à la paix et à l’Amérique d’abordDans un discours emprunt de références à son slogan emblématique « America First », Trump a plaidé pour une réforme en profondeur des institutions et une fin immédiate aux « guerres sans fin ». Il a critiqué les conséquences dévastatrices de ces conflits, non seulement à l’étranger mais aussi sur le sol américain, citant les problèmes économiques et sociaux qui en découlent.« Nous devons démanteler les fauteurs de guerre, mettre fin au pouvoir du deep state, et prioriser les besoins du peuple américain. » Il a également dénoncé les dépenses massives allouées à des aventures militaires à l’étranger, affirmant que ces ressources devraient être réinvesties dans les infrastructures et l’économie nationale.Critiques envers l’administration BidenTrump a décrété que les actions de l’administration Biden en Ukraine sont à l’origine d’une tension mondiale exacerbée. Selon lui, l’approche actuelle est non seulement imprudente, mais elle expose les États-Unis et leurs alliés à des conséquences catastrophiques.Il a également mis en garde contre une déstabilisation globale et un éventuel effondrement de la civilisation si des mesures immédiates ne sont pas prises. « Il est temps d’écouter la voix de la raison et de choisir le chemin de la paix », a-t-il martelé.Vers une nouvelle vision politiqueDonald Trump a conclu son intervention en appelant à une mobilisation pour rétablir les priorités nationales. « L’Amérique doit redevenir forte en se concentrant sur elle-même. Nous devons restaurer notre souveraineté, nos valeurs et notre prospérité. »En présentant une vision clairement opposée aux politiques actuelles, Trump espère réunir ses partisans autour d’un message de paix et de priorité nationale, tout en critiquant les dérives de l’élite dirigeante qu’il tient pour responsable de la crise actuelle.par Le Média en 4-4-2
[eeuu][rusia] Trump acusa y envía un mensaje de paz: la OTAN y los neoconservadores globalistas están presionando para una guerra nuclear. Biden juega con Armageddon en Ucrania. “Rusia no es la amenaza, es nuestra propia élite corrupta la que está destruyendo a Estados Unidos. Prioridad: PAZ inmediata,… https://x.com/i/status/1858414239666344231 — Camille Moscow --- (@camille_moscow) 18 de noviembre de 2024
L’ancien président des États-Unis, Donald Trump, a récemment prononcé un discours marquant, accusant les élites corrompues et les stratèges néoconservateurs d’entraîner le monde vers une guerre nucléaire imminente. Selon Trump, l’administration actuelle dirigée par Joe Biden joue dangereusement avec le feu en Ukraine, menaçant de plonger l’humanité dans un Armageddon.Une menace sans précédent« Nous n’avons jamais été aussi proches d’une Troisième Guerre mondiale », a déclaré Trump. Il a pointé du doigt les conflits par procuration menés en Ukraine, affirmant que ces affrontements ne font qu’accroître les risques d’escalade. Selon lui, la priorité doit être donnée à la paix immédiate, et non à des politiques agressives qu’il attribue à une élite mondialiste soucieuse de ses propres intérêts.Trump a insisté sur le fait que la véritable menace pour l’Amérique ne vient pas de l’extérieur, mais de l’intérieur : « La Russie n’est pas l’ennemi. L’ennemi, c’est notre propre élite corrompue, qui détruit l’Amérique de l’intérieur. » XX Trump accuse et lance un message de paix : l’OTAN et les néocons mondialistes poussent à la guerre nucléaire. Biden joue avec l’Armageddon en Ukraine. “La Russie n’est pas la menace, c’est notre propre élite corrompue qui détruit l’Amérique. Priorité : PAIX immédiate,… pic.twitter.com/sbtbKs6BhP https://x.com/i/status/1858414239666344231 — Camille Moscow XXX (@camille_moscow) November 18, 2024Un appel à la paix et à l’Amérique d’abordDans un discours emprunt de références à son slogan emblématique « America First », Trump a plaidé pour une réforme en profondeur des institutions et une fin immédiate aux « guerres sans fin ». Il a critiqué les conséquences dévastatrices de ces conflits, non seulement à l’étranger mais aussi sur le sol américain, citant les problèmes économiques et sociaux qui en découlent.« Nous devons démanteler les fauteurs de guerre, mettre fin au pouvoir du deep state, et prioriser les besoins du peuple américain. » Il a également dénoncé les dépenses massives allouées à des aventures militaires à l’étranger, affirmant que ces ressources devraient être réinvesties dans les infrastructures et l’économie nationale.Critiques envers l’administration BidenTrump a décrété que les actions de l’administration Biden en Ukraine sont à l’origine d’une tension mondiale exacerbée. Selon lui, l’approche actuelle est non seulement imprudente, mais elle expose les États-Unis et leurs alliés à des conséquences catastrophiques.Il a également mis en garde contre une déstabilisation globale et un éventuel effondrement de la civilisation si des mesures immédiates ne sont pas prises. « Il est temps d’écouter la voix de la raison et de choisir le chemin de la paix », a-t-il martelé.Vers une nouvelle vision politiqueDonald Trump a conclu son intervention en appelant à une mobilisation pour rétablir les priorités nationales. « L’Amérique doit redevenir forte en se concentrant sur elle-même. Nous devons restaurer notre souveraineté, nos valeurs et notre prospérité. »En présentant une vision clairement opposée aux politiques actuelles, Trump espère réunir ses partisans autour d’un message de paix et de priorité nationale, tout en critiquant les dérives de l’élite dirigeante qu’il tient pour responsable de la crise actuelle.par Le Média en 4-4-2
Biden’s last gamble: Is Washington trying to start World War III?With the outgoing US president seemingly eager to throw a final tantrum before his time is up, it’s up to Moscow to be the adult in the roomTarik Cyril AmarBy Tarik Cyril Amar, a historian from Germany working at Koç University, Istanbul, on Russia, Ukraine, and Eastern Europe, the history of World War II, the cultural Cold War, and the politics of memory
1-State policy on Nuclear Deterrence is defensive by nature, it is aimed at maintaining the nuclear forces potential at the level sufficient for nuclear deterrence, and guarantees protection of national sovereignty and territorial integrity of the State, and deterrence of a potential adversary from aggression against the Russian Federation and/or its allies. In the event of a military conflict, this Policy provides for the prevention of an escalation of military actions and their termination on conditions that are acceptable for the Russian Federation and/or its allies.2-The Russian Federation considers nuclear weapons as a means of deterrence, their use being an extreme and compelled measure, and takes all necessary efforts to reduce nuclear threat and prevent aggravation of interstate relations, that could trigger military conflicts, including nuclear ones.3-The Russian Federation ensures nuclear deterrence toward a potential adversary, which is understood to mean any individual states or military coalitions (blocs, alliances) which see the Russian Federation as a potential adversary and possess nuclear arms and/or other weapons of mass destruction or conventional forces with a significant combat capability. Nuclear deterrence is also ensured toward any states which provide the territory, airspace, and/or maritime space under their control as well as resources for preparing and conducting an aggression against the Russian Federation.4-An aggression of any single state from a military coalition (bloc, alliance) against the Russian Federation and/or its allies will be regarded as an aggression of the coalition (bloc, alliance) as a whole.5-An aggression against the Russian Federation and/or its allies of any non-nuclear state with the participation or support of a nuclear state will be regarded as their joint attack.6-The Russian Federation reserves the right to use nuclear weapons in response to the use of nuclear arms and/or other weapons of mass destruction against itself and/or its allies, as well as in the event of an aggression against the Russian Federation and/or the Republic of Belarus as constituents of the Union State using conventional arms, if such an aggression creates a critical threat for their sovereignty and/or territorial integrity. 7-The decision to use nuclear weapons is taken by the President of the Russian Federation.
Matt Gaetz is the only person who has the motive and ability to take on the National Security Division’s of the DOJ and FBI and get justice for the American people whose lives have been turned upside down because of their distinctly illegal activities.In 1998, the FBI promised to “fuck me in the ass” for daring to speak out against bad US policy in Iraq.Today, some 26 years later, the FBI is still working to carry out that promise.The FBI terrorizes innocent Americans daily for the “crime” of saying things their political masters object to.Matt Gaetz was investigated by the FBI regarding the allegations that are the subject of the House Ethics Committee report.The FBI did not press charges.Matt Gaetz has promised to hold the FBI and Department of Justice to account for the crimes they have committed against him.For the crimes they have committed against President Trump.For the crimes that they have committed against the American people.For the crimes they have committed against me.You see, it is personal.Not just for those who have been directly caught up in the abuses committed by the FBI and DOJ.But for all Americans.The FBI and DOJ, as they are currently organized and operated, are an insult to us all.They are an affront to the Constitution.Matt Gaetz wants to hold them to account.And we should do everything possible to give him the chance to do just that by supporting his nomination as Attorney General.We are in the midst of the Trump Revolution, and Matt Gaetz is as revolutionary as they come.
Why has the conflict gained new momentum?Before the current crisis, the Idlib province had remained the last major stronghold of armed opposition to Assad’s government throughout the Syrian conflict. The region became a focal point of overlapping interests among various local and international powers, creating a volatile and tense environment.In 2017, as part of the Astana peace process, Russia, Türkiye, and Iran agreed to establish de-escalation zones, with Idlib designated as one of them. The purpose of these agreements was to reduce the intensity of hostilities and create conditions for a political resolution. However, the ceasefire was repeatedly violated, and military operations persisted, escalating the conflict. The growing influence of radical Islamist groups, such as Hayat Tahrir al-Sham (HTS), complicated dialogue between the parties, as many of these organizations were excluded from negotiations and classified as terrorist groups.(Breve)Siria-Idlib -- Eje geográfico de salida de Mat-Primas Grupos a sueldo (HTS, oponentes, agentes MI6 y CIA)Turquia -- Refugiados, conflicto Kurdos, IránIsrael -- Palestina, LibanoUK-EEUU -- 2do frente para Ucrania(--- Final)The war in Idlib: A harbinger of potential global catastropheThe escalation in Syria’s Idlib province transcends the bounds of a localized conflict, serving as a stark warning of global instability. The northwest of the country has become a battlefield where the interests of global powers converge, and the intensifying violence reflects the deep fractures in the current world order. The involvement of numerous external players pursuing their own agendas has turned the region into a microcosm of geopolitical contradictions, potentially foreshadowing a broader global crisis.The resurgence of long-standing conflicts, such as Israel’s military actions in Gaza and Lebanon, amplifies tensions on the international stage. These seemingly dormant or controlled confrontations are reigniting with renewed intensity, posing threats to regional and global stability. The revival of these underscores the inability of existing mechanisms to effectively prevent escalation and address the underlying causes of discord.Global tensions are nearing a critical tipping point, as many “frozen” conflicts begin to “bleed.” The old world order, built on principles and institutions shaped during the last century, is proving inadequate to meet the challenges of globalization, technological progress, and shifting power dynamics. International organizations and agreements frequently falter in the face of contemporary threats, whether terrorism, cybersecurity, or hybrid warfare.Constructing a new world order requires a rethinking of existing structures and, perhaps, dismantling outdated approaches. This transition is inherently fraught with conflict, as the shift from the old to the new is rarely smooth. Competing powers and blocs are striving to safeguard their interests, heightening the risk of confrontation unless a common understanding and mutual trust can be established.The situation in Idlib epitomizes this painful transitional phase. It highlights how regional conflicts can escalate into global crises if left unresolved. The interplay of external forces in Syria mirrors broader trends of rivalry and mistrust among major powers, further increasing the likelihood of a large-scale conflict.In conclusion, the escalation in Idlib and other global hotspots serves as a warning that the world is on the brink of profound change. To avoid sliding into a global conflict, the international community must work collaboratively to establish a new, more resilient world order capable of addressing modern challenges. This requires dialogue, compromise, and a willingness to overcome old divisions for the sake of a shared future.
Murad SadygzadeMurad Sadygzade is the President of the Middle East Studies' Center in Moscow, a research institution dedicated to understanding the complexities of the Middle East.He is a visiting Lecturer at HSE University, RANEPA, and MGIMO University (Odintsovo), ensuring future generations are informed about the region. Engaging in high-level discussions as an expert of prominent organizations like the Russian International Affairs Council, Valdai Discussion Club, and various analytical centers across the Middle East.He provides valuable insights and guidance to both public and private organizations navigating the intricacies of the Middle East and offers his expert commentary on current events in the region through both Russian and Middle Eastern media platforms.Follow Murad’s insights on his Telegram channel.
In July 27, 1794, the non-insane members of the Convention, or national legislative body in Paris, suddenly turned on the rabid Jacobin leader Maximillian Robespierre and overthrew his ruling tyrannical bunch — who had killed 40,000 of their fellow countrymen in the paranoid orgy known as The Reign of Terror. The next day, Robespierre rode the tumbrel to his own appointment with “the national razor” and the Thermidorian Reaction was on! By the way, in one of their many acts disordering French society, the Jacobins had changed the calendar, renamed all the months, and changed the weeks from seven to ten days (to eliminate Sundays as a holy day of rest in their anti-church crusade). Thus, Thermidor, the month of mid-summer. This was but a small part of their proto-communist agenda, but you see in it the flavor of their radical extremism. The Woke Democrats of recent times were our Jacobins, and the election of November 5, 2024, marks the kick-off of America’s Thermidorian Reaction. The crazies have been overthrown and our country awaits a restoration of norms in culture and law. No more sexualizing of children, no more flood of criminal mutts across the US border, no more furtive censorship of public speech, no more creative lawfare, no more women on the battlefield, no more “anti-racist” racism in the workplace, no more intel takeover of everyone’s private life. . . you get the picture.(,,,)There’s every reason to believe that the ‘splainin’ can take place in correct proceedings according to law: hearings, grand juries, courts. We do have actual laws against racketeering, abuse of power, election fraud, bribery, malicious prosecution, sedition, treason, and conspiracy to commit all those crimes. Pay attention: all that is distinct from lawfare, which is making-up crimes, faking crimes, and faking procedure. You are going to see a demonstration of how law differs from lawfare. It ought to have a salutary effect on our national esprit. And that should motivate us to get on with the job of repairing the damage done to our country.
La Paz de Westfalia de 1648 sentó las bases del orden mundial moderno, que se basa en un equilibrio de poder entre iguales soberanos para obstaculizar las ambiciones hegemónicas. El equilibrio de poder westfaliano podría reducir las rivalidades de suma cero al defender el principio de seguridad indivisible, ya que mejorar la seguridad de los adversarios también mejoraría la propia.Desde el fin de la Guerra Fría, Estados Unidos ha promovido un orden mundial revisionista basado en la hegemonía estadounidense y la desigualdad soberana, legitimado bajo la bandera de los valores liberales universales. El orden mundial hegemónico pretendía trascender la anarquía internacional, pero era inevitablemente temporal e inestable, ya que su durabilidad dependía de impedir el ascenso de rivales potenciales y promover un sistema de desigualdad soberana. La era de la hegemonía ya terminó, ya que el mundo pasó a un equilibrio de poder multipolar, y es necesario redescubrir el principio de la seguridad indivisible.(...)Un principio clave de la Paz de Westfalia fue, por tanto, el principio de seguridad indivisible, ya que garantizar la seguridad de los oponentes era un paso decisivo para lograr una paz y una estabilidad duraderas en Europa. Para garantizar la estabilidad, es necesario garantizar la seguridad de todos los Estados que participan en el orden. Este principio se apartaba del enfoque tradicional de la seguridad internacional en el que los vencedores de un conflicto podían castigar y subyugar al bando derrotado. Así, el orden pretendía sustituir la conquista y la dominación por las restricciones y la cooperación. Este principio fue ampliamente adoptado con el establecimiento del Concierto para Europa en 1815, cuando Francia fue incluida como participante en pie de igualdad, a pesar de haber sido derrotada en la guerra napoleónica.(...)El concepto de Pax-Americana deriva de “Pax-Romana”, un período de paz y estabilidad que existió bajo el gobierno hegemónico del Imperio Romano durante los siglos I y II d.C. El período de 200 años de duración aseguró una paz relativa y niveles excepcionales de prosperidad económica y desarrollo cultural. Si bien la Pax-Romana se caracterizó por una paz y estabilidad relativas, también estuvo marcada por la supresión de la disidencia y la imposición de la cultura y los valores romanos a los pueblos conquistados. La ambición de Estados Unidos de promover su primacía global para difundir los valores liberales tenía muchas intenciones benignas, pero la hegemonía requiere reprimir a las potencias en ascenso y negar la igualdad soberana. El presidente John F. Kennedy había advertido contra una paz hegemónica en 1963 cuando afirmó: “¿A qué clase de paz me refiero? ¿Qué clase de paz buscamos? No una Pax Americana impuesta al mundo por las armas de guerra estadounidenses. No la paz de la tumba ni la seguridad del esclavo”.(...)La separación entre legitimidad y legalidad terminó dando como resultado el llamado “orden internacional basado en normas”, basado en la desigualdad soberana, que reemplaza al derecho internacional, que tiene su fundamento en la igualdad soberana. El orden internacional basado en normas supuestamente se basa en el derecho internacional al complementar los valores democráticos y el derecho humanitario, aunque en realidad es instrumental para legitimar la hegemonía. Cuando surgen principios contrapuestos, como la integridad territorial o la autodeterminación, las “normas” son siempre intereses de poder. En el caso de Kosovo y, cada vez más, de Taiwán, Estados Unidos se inclina por la autodeterminación. En Crimea, Estados Unidos insiste en el principio de integridad territorial. El desmantelamiento deliberado del derecho internacional por parte de Occidente dio como resultado lo que gran parte del mundo interpretó como una condena hipócrita de Rusia.(...)La visión de Xi Jinping de construir una paz westfaliana benigna también quedó demostrada al reiterar la necesidad de reemplazar los cálculos de suma cero por el reconocimiento de que la seguridad es inherentemente indivisible:Citar “La humanidad vive en una comunidad con un futuro compartido en la que todos prosperamos y fracasamos juntos. Para que cualquier país logre la modernización, debe buscar el desarrollo común mediante la solidaridad y la cooperación y seguir los principios de contribución conjunta, beneficios compartidos y resultados beneficiosos para todos”.Las ideas de Xi Jinping reflejan las del filósofo alemán del siglo XVIII Johann Gottfried von Herder, quien sostuvo que la preservación de la singularidad nacional genera diversidad y fortaleza internacionales cuando no se menosprecia a otras naciones ni se reivindica la superioridad cultural. Traducido a la era actual, la preservación de la singularidad de la civilización requiere evitar conceptos como “choque de civilizaciones” y “superioridad de civilizaciones”.La propuesta de Xi Jinping cuenta con el apoyo de Rusia, ya que el presidente Putin sostuvo anteriormente que cada nación debe tener la libertad de desarrollarse por su propio camino y que “la simplificación primitiva y la prohibición pueden ser reemplazadas por la complejidad floreciente de la cultura y la tradición”. Estas palabras se basan en las ideas de Nikolai Danilevsky, quien sostuvo en el siglo XIX que seguir un único camino de modernización impedía a las naciones contribuir a la civilización universal:Citar “El peligro no consiste en la dominación política de un solo Estado, sino en la dominación cultural de un tipo histórico-cultural… La cuestión no es si habrá un Estado universal, una república o una monarquía, sino si dominará una civilización, una cultura, ya que esto privaría a la humanidad de una de las condiciones necesarias para el éxito y la perfección: el elemento de la diversidad”.De manera similar, Fiódor Dostoyevsky argumentó en 1873 que Rusia no podría ser independiente ni contribuir mucho al mundo si simplemente emulaba a Occidente:Citar “Avergonzados y temerosos de habernos quedado tan atrás de Europa en nuestro desarrollo intelectual y científico, hemos olvidado que nosotros mismos, en la profundidad y las tareas del alma rusa, tenemos en nosotros como rusos la capacidad tal vez de traer nueva luz al mundo, con la condición de que nuestro desarrollo sea independiente”.La diversidad de civilizaciones es imprescindible porque, al igual que la biodiversidad, hace que el mundo sea más capaz de absorber los impactos y manejar las crisis: “Si se hiciera realidad el universalismo, se traduciría en una marcada disminución de la complejidad de la sociedad global en su conjunto y del sistema internacional en particular. La reducción de la complejidad, a su vez, aumentaría drásticamente el nivel de riesgos y desafíos sistémicos”.La objeción a las pretensiones intrusivas de universalismo también es fundamental para la civilización occidental. En la antigua Grecia, cuna de la civilización occidental, se reconoció que el universalismo y la uniformidad debilitaban el vigor y la resiliencia que definían la idea helénica. La cooperación y la competencia benignas entre las diversas ciudades-estado griegas crearon una diversidad de ideas y una vitalidad que elevó la civilización griega. La integración en un sistema político implicaría perder la diversidad de filosofía, sabiduría y liderazgo que incentivaba la experimentación y el progreso.(...)El primer orden mundial que verdaderamente abarca al mundo enteroSe puede concluir que restaurar un orden mundial westfaliano no sólo requiere una distribución multipolar del poder económico, sino también el respeto por la diversidad de civilizaciones para asegurar que se preserve el principio de seguridad indivisible. El orden internacional debe contrarrestar las nefastas afirmaciones de superioridad civilizacional disfrazadas de la retórica benigna de los valores universales y los modelos de desarrollo. Desde este prisma, los esfuerzos de Estados Unidos por dividir el mundo en democracia y autoritarismo pueden considerarse una estrategia para restaurar la hegemonía y un sistema de desigualdad soberana derrotando a los adversarios, en lugar de construir un sistema internacional basado en la armonía y el progreso humano. Xi Jinping ha repudiado así el modelo hegemónico estadounidense y, en su lugar, ha presentado el argumento westfaliano de que los Estados deben “abstenerse de imponer sus propios valores o modelos a los demás”.La nueva Westfalia puede ser por primera vez un verdadero orden mundial al incluir a las naciones no occidentales como iguales soberanas. Por lo tanto, no debe sorprendernos la respuesta positiva de la mayoría del mundo a la propuesta de reemplazar el conflicto y el dominio por una cooperación basada en la igualdad y el respeto mutuo.
“La humanidad vive en una comunidad con un futuro compartido en la que todos prosperamos y fracasamos juntos. Para que cualquier país logre la modernización, debe buscar el desarrollo común mediante la solidaridad y la cooperación y seguir los principios de contribución conjunta, beneficios compartidos y resultados beneficiosos para todos”.
“El peligro no consiste en la dominación política de un solo Estado, sino en la dominación cultural de un tipo histórico-cultural… La cuestión no es si habrá un Estado universal, una república o una monarquía, sino si dominará una civilización, una cultura, ya que esto privaría a la humanidad de una de las condiciones necesarias para el éxito y la perfección: el elemento de la diversidad”.
“Avergonzados y temerosos de habernos quedado tan atrás de Europa en nuestro desarrollo intelectual y científico, hemos olvidado que nosotros mismos, en la profundidad y las tareas del alma rusa, tenemos en nosotros como rusos la capacidad tal vez de traer nueva luz al mundo, con la condición de que nuestro desarrollo sea independiente”.
Estamos viviendo tiempos de transición global. Es evidente dónde hemos estado, pero no está claro hacia dónde se dirige el mundo. Algunos Estados se resisten implacablemente a esa transición, mientras que otros se esfuerzan por promover un sistema internacional modificado que se ajuste a las realidades emergentes. Las acciones de los gobiernos de ambas categorías refuerzan mutuamente sus compromisos de seguir estos rumbos incompatibles. Ahí está el problema.Este es el contexto de las grandes crisis en Ucrania, Oriente Medio y Taiwán. La guerra en curso en los dos primeros países conlleva el potencial de una escalada con consecuencias nefastas y de largo alcance. Cada una de ellas es a la vez sintomática de los cambios sistémicos que se están produciendo en los asuntos mundiales y la causa de un aumento de las consecuencias en cuanto a cómo se gestiona o no esa transición.Dilema 1 Estados Unidos[El cambio de foco de atención desde Rusia en Europa a China en Asia es menos un mecanismo para hacer frente a la derrota en Ucrania que la reacción patológica de un país que, con una persistente sensación de disminución de su poder, no puede arreglárselas para hacer nada más que intentar una última tirada de dados en un vano intento de demostrarse a sí mismo que todavía tiene lo necesario, ya que vivir sin ese exaltado sentido de sí mismo es intolerable.]Dilema 2 Rusia y China[El objetivo minimalista (de Rusia - NdE) ha sido cortar sus vínculos con la Europa de la UE, marginándola así como un estado periférico e intrascendente. El objetivo maximalista ha sido provocar un cambio de régimen que dé como resultado un proveedor de recursos naturales baratos más débil y favorable a Occidente, y abierto a las finanzas occidentales depredadoras. Un aparcero en la plantación global de Occidente, como lo expresó sin rodeos un diplomático ruso. El Proyecto Ucrania iba a ser la punta de lanza].Dilema 3. LOS EUROPEOS[La extrema prerrogativa de Estados Unidos para actuar sin tener en cuenta la autonomía y los intereses europeos quedó demostrada en la destrucción del gasoducto del Báltico por parte de Washington. Ese episodio extraordinario resaltó el compromiso de los europeos incondicionales de servir como sátrapa de Estados Unidos en su campaña total para impedir que China y Rusia cuestionen su hegemonía. Asegurarse la obediencia del bloque de potencia económica europea es un innegable éxito estratégico para Estados Unidos, como lo es también cortar el acceso de Rusia a la inversión de capital, la tecnología y los ricos mercados de Occidente. Sin embargo, los costos más altos los están pagando los europeos. En efecto, han hipotecado su futuro económico con el fin de participar en la mala idea cortando toda conexión con lo que ahora es una Rusia implacablemente antagonista, cuyos abundantes recursos energéticos y agrícolas han sido un elemento primordial en su prosperidad y estabilidad política.]
Michael Brenner es profesor emérito de Asuntos Internacionales en la Universidad de Pittsburgh y miembro del Centro de Relaciones Transatlánticas de SAIS/Johns Hopkins. Fue director del Programa de Relaciones Internacionales y Estudios Globales de la Universidad de Texas. Brenner es autor de numerosos libros y más de 80 artículos y trabajos publicados. Sus obras más recientes son: Democracy Promotion and Islam (Promoción de la democracia e Islam) ; Fear and Dread In The Middle East (Miedo y pavor en Oriente Medio) ; Toward A More Independent Europe (Hacia una Europa más independiente) ; Narcissistic Public Personalities & Our Times (Personalidades públicas narcisistas y nuestros tiempos) . Lea otros artículos de Michael .